Chronique *2 ; The ocean at the end of the lane

Titre français : ?

Année : 2013

Auteur : Neil Gaiman

Langue : Anglais

THE OCEAN AT THE END OF THE LANE is a fable that reshapes modern fantasy: moving, terrifying and elegiac - as pure as a dream, as delicate as a butterfly's wing, as dangerous as a knife in the dark - from storytelling genius Neil Gaiman. It began for our narrator forty years ago when the family lodger stole their car and committed suicide in it, stirring up ancient powers best left undisturbed. Dark creatures from beyond this world are on the loose, and it will take everything our narrator has just to stay alive: there is primal horror here, and menace unleashed - within his family and from the forces that have gathered to destroy it. His only defence is three women, on a farm at the end of the lane. The youngest of them claims that her duckpond is an ocean. The oldest can remember the Big Bang.

Je profite du fait que mon épisode de "The Walking Dead" termine son téléchargement, pour écrire cette petite chronique. Ensuite : Walkers time (I'm scared, Jesus lord. Glennnnnnn).

Revenons-en au livre : j'ai lu tellement d'avis positif à son sujet que j'en attendais certainement trop.. du coup : déception. Pourtant j'adore la plume et l'univers de Gaiman, mais là... NON! Je n'ai vraiment pas accroché. Where you high, sir? L'histoire commençait plutôt bien, j'ai été très intrigué par les filles Hempstock et le mystère qui les entourent. Seulement voilà, ce dernier n'ayant pas été élucidé ou ne serait-ce qu'un peu plus poussé, j'ai vite lâché l'affaire (ou alors je suis passé carrément à côté, parce qu'au final j'ai lu ce livre s'en vraiment le lire...). J'aurais vraiment aimé que Gaiman entre plus en détails sur leurs histoire, leurs passer. Parce que c'est ce qui m'interressait le plus dans le livre. 
J'ai aussi trouvé le reste de l'aventure un peu trop bizarre à mon goût, et pourtant je sais à quoi m'attendre qu'en j'ouvre un Gaiman quoi.. c'est bien pour ça que je le lis. Je n'ai pas compris le tiers de ce qu'il se passait.
Livre vite lu et vite oublié.. Next one.

"Nobody looks like what they really are on the inside. You don't. I don't. People are much more complicated than that. It's true for everybody."